La Quête de l'Ultime Technologie (1ère partie)

L'Hôtel Dieu de Toulouse

Il était une fois, dans une ville reculée du sud de la France, un jeune stagiaire nantais, perdu dans ce comptoir espagnol où la populasse semble pourtant parler français. Celui-ci était désireux d'une technologie moderne, si puissante et rapide qu'il en était devenu drogué. Elle lui permettrait de communiquer avec ses amis, aux quatre coins du monde. Le parcours de notre "petit beurré nantais" dans cette quête de l'ultime technologie se révélera truffé d'embûches et de crapules. C'est cette histoire, "La quête de l'Ultime Technologie", que je vais vous conter aujourd'hui.

Tout commença par l'emménagement de Berlingo, notre héros, dans un appartement de 50 m³ (environ 20m²), qui se passa rapidement et sans encombre. Dès l'état des lieux, Berlingo avait repéré la prise téléphonique du système de télécommunication français. Ce petit bitoniau était en effet indispensable pour acquérir l'ultime technologie. Un sourire machiavélique se dessina sur son visage quand il envisagea toutes les vilainies qu'il pourrait faire avec cet outil. Mais il ignorait qu'il lui faudrait, avant, passer par bien des épreuves...

L'épreuve de la pêche à la ligne :

Berlingo devait se munir d'une ligne fine pour appâter les vendeurs d'ultime technologie. Cette ligne, aussi appelée par abus de langage "ligne fixe", n'était fournie que par une seule entité, organisation mesquine et cruelle nommée Franck Tel & Co. (& pour les intimes), qui se moquait éperdument des Petits Beurres perdus dans la Ville Rose. Notre héros connaissait bien cette organisation, mais restait optimiste. Aucune des expériences passées ne l'avait averti des peines qu'il allait rencontrer pour acquérir cette ligne fine. Il appela d'abord Franck Tel & Co. au 1014, puis au 1013, puis à un numéro en 0800 difficile à retenir mais rien. Une petite voix lui chuchotait "d'entrer le numéro sur lequel portait sa demande", or il lui fallait une ligne fine pour l'obtenir. Rien de plus facile a priori. C'était sans compter l'assistance téléphonique limitée d'&. Le doute s'empara de lui quand il découvrit qu'il devait se rendre dans une agence de l'organisation. Il devra alors être sur ses gardes, chacun connaissant les souffrances que l'on peut endurer en ces lieux...

(Suite au prochain billet)

3 commentaires:

-M-ric a dit…

Je vous préviens, il me faut au moins un commentaire pour mettre la suite... qui est tout aussi nulle, je vous rassure :)

Anonyme a dit…

çà y est tu vas l'avoir ton commentaire.
Je vois que tu es relié au monde maintenant que tu as internet.

UN inconnu !!!

-M-ric a dit…

J'aime pas les anonymes, encore moins de sexe masculin. Mais comme je suis de nature généreuse (oui oui), je vais quand même mettre la suite... (surtout parce que je n'ai pas beaucoup de lecteurs en fait, et que j'ai pas envie d'attendre un siècle)