La Quête de l'Ultime Technologie (3ème partie)

Le Palais d'Assézat, construit en 1555

Notre héros avait passé un week end merveilleux. Il avait fêté le mariage de sa cousine (de glass) à "Bord d'Eaux", ville proche de l'océan et réputée pour ses alcools mauves au parfum de vieilles croûtes de fromage. "Hmmm... délicieux!". Le lundi, Berlingo arriva cette fois à 18h35 au centre rose. Confiant et avançant d'un pas assuré. En arrivant à l'agence, il découvrit l'horreur : elle était fermée pour cause de travaux et il en serait de même tous les après midis suivants. "Arghhh!" fit-il, écoeuré par ce revers supplémentaire. Mais il savait qu'une autre échoppe était proche. Contrairement à son quartier calme, le centre rose fourmillait littéralement d'agences &.

La deuxième agence n'était pas encore fermée quand il s'en approcha. Il accéléra tout de même l'allure, entra sans encombre et interrogea tout de suite un vendeur. Il avait cette fois tous les documents, le succès n'avait jamais été aussi proche. Il sentait déjà un doux frisson l'envahir, prémice de la puissance que lui fournirait bientôt l'ultime technologie. Comme en état de manque, l'employé prit tous les documents avec avidité. "Vous ne voulez pas souscrire à l'ultime technologie en même temps?" lui demanda-t-il. Les yeux pétillants d'envie, notre héros hésita un instant, puis résista à cette proposition de l'obscure organisation. Il connaissait ses tarifs et certains abonnements vous emprisonnent pendant plusieurs années. Il refusa, Berlingo avait choisi de faire appel au service de Ci-gît Tel, un fournisseur bon marché. "Vous êtes étudiant? La ligne fine est moitié moins cher pour les étudiants". Interloqué par cette question du vendeur-crapule, Berlingo savait qu'il n'avait pas de carte d'étudiant terrienne. "Vous avez votre carte d'étudiant?"... Secoué par ce nouvel assaut, notre héros faillit trébucher. Après avoir écouté l'explication du petit beurré nantais, le vendeur-crapule conclut "Revenez demain avec votre certificat...". Dépité, les yeux rivés au sol, Berlingo mit fin à l'entretien et repartit prestement. "Beng!" notre petit biscuit nantais se mangea la tête sur la grille de protection. Un vil employé l'avait rabattu peu avant, juste au dessus de son champ de vision, l'échoppe fermait. Ses yeux, noirs de colère, fusillèrent les vendeurs-crapules mais il sourit car aucune douleur ne le tiraillait. Franck Tel & Co. ne pouvait pas le blesser. Il se sentait invincible, même après cette nouvelle escarmouche.

(Suite au prochain billet)

8 commentaires:

-M-ric a dit…

J'ai créé un nouveau blog, jetez-y un coup d'oeil ;-)
http://ginot2501.skyblog.com/

Anonyme a dit…

ça progresse cette histoire ! vite vite ! on veut la fin !
as tu eu ton proprio au tel ?
tu devrais mettre des photos de ton torse aussi po faire pâlir les filles !
bisous

Anonyme a dit…

euh y'a eu un com alors tu peux continuer l'histoire !

-M-ric a dit…

Ahah!!! Ce n'est pas aussi facile. Je veux dire, de continuer l'histoire, pas de montrer mon torse... Ahlala! Ces Skyblogs...

-M-ric a dit…

Quand après demain sera hier, il nous faudra autant de jours pour atteindre dimanche qu'il nous en a fallu quand avant-hier était demain, pour que nous soyons aujourd'hui. Quel jour sommes-nous?

Anonyme a dit…

Hello
tu te paies notre tête ! !
c'est trop fatiguant et compliqué
A ++

Anonyme a dit…

EUH t'as pas un indice ? y'a vraiment un truc à trouve r ? je cherche... laisses nous un peu de tps !

Anonyme a dit…

Chouette un énigme. Je dirais que ça dépend si on est une année bisextile.
Sinon, je propose dimanche, en résumant ta phrase à "Dans 4 jours il nous faudra 3 jours pour atteindre dimanche".
Cela dit, ça dépend par où on passe.